La Fondation Audemars Piguet pour le Bien Commun, engagée aux côtés d’un vaste réseau de banques et d’organisations de redistribution alimentaire, souhaite renforcer son action en finançant la création d’un cadre d’évaluation unifié de leur impact social et environnemental.
Les banques alimentaires jouent un rôle crucial dans la lutte contre la faim et l’insécurité alimentaire, en soutenant les communautés les plus vulnérables à travers le monde.
La Fondation Audemars Piguet pour le Bien Commun, engagée aux côtés d’un vaste réseau de banques et d’organisations de redistribution alimentaire, souhaite renforcer son action en finançant la création d’un cadre d’évaluation unifié de leur impact social et environnemental.
Si le volume de denrées redistribuées reste un indicateur central, il est désormais essentiel de mesurer également les effets plus larges de ces activités. Sur le plan social, cela permet de comprendre comment les programmes des banques alimentaires influencent la santé, l’accès à une alimentation nutritive et le bien-être des populations locales. Sur le plan environnemental, la mesure de l’empreinte écologique des aliments redistribués aide à réduire le gaspillage, optimiser les sources d’approvisionnement et favoriser des chaînes logistiques plus durables.
En intégrant ces dimensions dans leur mission, les banques alimentaires peuvent évoluer vers des solutions systémiques et durables. L’analyse des retombées globales – quantitatives et qualitatives – vise à mieux cibler les zones vulnérables et adapter leurs actions aux besoins réels des communautés, tout en renforçant leur transparence vis-à-vis des donateurs, des partenaires et du public. Les banques alimentaires peuvent ainsi jouer un rôle actif dans la transformation vers des systèmes alimentaires plus équitables, inclusifs et résilients.
